Trois véhicules enlevés après avoir occupé indument durant de longs mois des places - que l'on peut avoir du mal à trouver en rentrant tard le soir.
Il faut s'en convaincre : la catastrophe du "bunker" (ex-patio envahi de barreaux) nous a privé de la résidentialisation de la copropriété, c'est-à-dire d'ériger des clôtures au pourtour de notre parcelle à l'Est (actuel passage voitures) et au Sud-Est (actuel passage piéton).
La commune fait nettement mieux dans sa résidentialisation d'immeubles à loyers modérés ou en accession.
Sans la résidentialisation, les voiture-ventouses restent un mal permanent que rien ne vient arrêter : le désordre ancré dans le syndicat.
Sans compter les véhicules professionnels, et lorsque ce ne sont pas les nôtres, ce sont ceux des voisins d'en face.
Il faut s'en convaincre : la catastrophe du "bunker" (ex-patio envahi de barreaux) nous a privé de la résidentialisation de la copropriété, c'est-à-dire d'ériger des clôtures au pourtour de notre parcelle à l'Est (actuel passage voitures) et au Sud-Est (actuel passage piéton).
La commune fait nettement mieux dans sa résidentialisation d'immeubles à loyers modérés ou en accession.
Sans la résidentialisation, les voiture-ventouses restent un mal permanent que rien ne vient arrêter : le désordre ancré dans le syndicat.
Sans compter les véhicules professionnels, et lorsque ce ne sont pas les nôtres, ce sont ceux des voisins d'en face.