jeudi 30 avril 2020

2020-04-19 : enfin un peu de pluie !

Et elle manquait.

Mais elle n'est pas tombée beaucoup.

Elle arrose un peu les plantes qui ont mauvaise mine,

elle nettoie les rues...

... et les miasmes.

jeudi 23 avril 2020

L'eau manque, l'eau de pluie bien sûr.




Comme l'an passé, après une fin d'hiver très pluvieuse, il n'y a plus de pluie depuis des semaines déjà.





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mardi 21 avril 2020

Désagrément, pour assurer un simple contrat d'espaces verts, nous avons perdu nos pâquerettes.




Disparition du parterre de pâquerettes ce 21/04/2020.
(pâquerettes, Pâques !!!)


 Est-ce que ces petites fleurs dérangeaient ?

Alors que nous sommes nombreux à pouvoir en profiter dans la journée !



Le contrat d'entretien des espaces verts ne peut-il pas être suspendu quelques mois afin de voir le produit de la nature réinvestir les espaces arables de la résidence ?




La commune à l'intelligence (ou le refus de bras) de ne pas couper les zones enherbées, et ainsi préserver tant que ce peut la biodiversité.
Le "fauchage raisonné" dit-il quelque chose à quelqu'un ?





D'un côté, l'utilisation du composteur commun n'est pas un mal ; de l'autre, la perte du peu de nature qui réinvestissait notre terre !

Quelle logique ?












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lundi 20 avril 2020

Le composteur commun fait recette.

La boîte en bois d'environ 1 mètre cube située à l'angle sud-est de l'ex aire de jeux pour enfants  est de plus en plus utilisée,

et avec semble-t-il un bon usage par le dépôt des uniques détritus compostables,

et à l'exclusion des sacs pseudo plastique dont le caractère non toxique pour le compostage reste discuté.

dimanche 19 avril 2020

2020-04-19 : poubelle de l'ex aire de jeux pour enfants pleine ras la gueule.

Les containers noirs sont de sortie ce dimanche soir, et pourtant c'est le sac poubelle de l'ex aire de jeux pour enfants qui a été remplis.

Sans même faire les poubelles, visiblement, des objets n'ont pas à y être, mais doivent aller au recyclage de notre planète en pleine zoonose.




Les pratiques inadaptées ont la vie dure ici.







Parfait désordre !

2020-04-19 : chauffage collectif arrêté prématurément.

... de nouveau !








L'article 22 du règlement de copropriété modificatif du 05 juillet 1979 (15/10 au 15/04), dans cette rédaction du vingtième siècle, ne correspond pas aux besoins réels en région parisienne, d'où la précision de "en principe".



















Cher désordre !

samedi 18 avril 2020

Aucune offre de matières pour petits travaux ???


- pour les 'nids de poule', du béton fibré, au moins un sac de 40 kg, en profitant de la réduction importante de passage automobile actuellement permettent de 'neutraliser', ou ralentir le passage sur du béton 'frais' le temps qu'il prenne bien (durée de prise sans adjuvant : 28 jours) ;

- pour la buanderie, un sac de 25 kg de ragréage autolissant (pas de contrainte de temps de séchage, mais nécessité de préparation par léger décapage de la peinture sol existante au lieu où le ragréage doit être fait ;

- pour la buanderie, de la peinture sol, pour une superficie d'environ 64 mètres carré (2 couches de 32 mètres carré), dont la couche de finition - seconde couche - avec une couleur claire (pastel) ;

- et vos suggestions...

Le temps passe et ne repassera pas.

vendredi 17 avril 2020

Et les 'nids de poule'...

... avec un sac de béton fibré, de 40 kg, cela devrait suffire.


Bonnes intentions, mais pas beaucoup d'échos.

mardi 14 avril 2020

Chauffage collectif : sidération ce mardi 14 avril 2020 un peu après zéro heure.

Le chauffage collectif s'est mis à chauffer de nouveau ce mardi 14 avril 2020 un peu après zéro heure.

Une 'main habile' a-t-elle remis en service la chaufferie éteinte prématurément ?

Nul doute car équipée d'une horloge, la chaufferie baisse le chauffage automatiquement vers 23h00 ; or à 23 heures ce lundi de Pâques 13 avril 2020, il n'y avait aucun chauffage.

Par conséquent, il a été remis en service après 23 heures, et le chauffage s'est fait sentir après minuit dans la nuit du 13 au 14 avril 2020.

Sidérant !

Aucun lien n'existe a priori entre la '5G' et la virulence d'un agent infectieux...

... mais nul n'ignore par ailleurs la nocivité ou l'affectation des organismes vivants par les ondes, des personnes étant sujettes à une sensibilité électromagnétique ou intolérance environnementale idiopathique.

Les fabricants ne doivent-ils pas indiquer de manière obligatoire pour leurs petits fours à micro-ondes portables à ciel ouvert (aussi appelés 'smartphones') la quantité d'ondes qu'ils émettent d'une part pour certaines utilisations, et d'autre part eu égard à leur proximité du cerveau ou d'organes reproducteurs ?
(explosion de cas de maladie d'Alzheimer sans aucune explication, problèmes de fertilité,...).

Comment se propage-t-il aussi vite, mais pas assez toutefois pour pouvoir 'immuniser' (contaminer) une part élevée de la population devant l’amener à décliner ?

L'OMS ne tient pas des propos optimistes... la Corée du Sud voit l'agent infectieux réémerger...

Écarter d'emblée l'idée que la sensibilité électromagnétique serait inopérante sur un agent infectieux est très ambitieux dans le champ des possibles et des plus grandes ignorances actuelles sur ces agents.

Quelle morgue !

L''hiver climatique' n'est pas terminé, et pourtant le chauffage collectif est déjà coupé.

C'est l'idée farfelue de tout vouloir mettre dans des 'boîtes' qui a créé les notions erronées de printemps et d'automne.

Pour un véritable climatologie, il n'existe que l'hiver et l'été.

Nous sommes encore en hiver, il suffit de voir les températures nocturnes encore bien en deçà des 13 degrés Celsius au levé du soleil pour le confirmer.

Et pourtant, le chauffage collectif a encore été coupé de façon prématurée...

L'article 22 du règlement de copropriété modificatif du 05 juillet 1979 (15/10 au 15/04), dans cette rédaction d'époque, ne correspond pas aux besoins réels en région parisienne, d'où la précision de "en principe".

Cher désordre du SDC Bellevue !











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lundi 13 avril 2020

Ce 'cher' désordre qui ne quitte pas la copropriété : arrêt du chauffage collectif, absence de compréhension des saints de glace renouvellée.

Encore un arrêt du chauffage collectif très prématuré !

Les saints de glace (mamert, Pancrace et Servais), c'est dans un mois, ou plus exactement dans quatre semaines, les 11, 12 et 13 mai 2020, aujourd'hui renommés dans le calendrier sainte Estelle, saint Achille et sainte Rolande.

Le lundi 11 mai 2020 :  "Attention, le premier saint de glace, souvent tu en gardes la trace"
Le mardi 12 mai 2020 : "Saint Pancrace souvent apporte la glace"
Le mercredi 13 mai 2020 : "Avant saint Servais point d'été, après saint Servais plus de gelée"

enfin, associé le lundi 25 mai 2020 : "Mamert, Pancrace et Servais sont des saints de glace, mais saint Urbain les tient tous les trois dans sa main"

Arrêter le chauffage collectif avant ces trois premières dates de mai, quelles que soient les conditions climatiques extérieures, n'a pas de sens.

Et pourtant, ce comportement nuisible aux résidants est renouvelé périodiquement.

Ce désordre qui ne quitte pas la copropriété !

dimanche 12 avril 2020

Et une journée bénévole en ce Pâques 2020 particulier ?

Par exemple, enlever les mégots et morceaux de verres et autres petits déchets des aires de stationnement gravillonnées.

Par exemple, repeindre la buanderie dont le sol a d'ores et déjà été nettoyé à la soude (ce qui n'est pas flagrant). 
Pour repeindre le sol, d'une part, une opération liminaire : à l'angle sud-est de la buanderie, même invisible à l’œil nu, un petit espace est plus bas et ne permet pas d'emmener par gravité l'eau qui pourrait y séjourner vers l'égout de cette salle situé au centre nord ; aussi, après un petit matage de la peinture sol existante, un petit ragréage d'un volume d'une quinzaine de litres (soit certainement un sac de 25 kg) est nécessaire. il n'est nul besoin d'outils spécialisés, mais essentiellement d'huile de coude et de volonté. Temps estimé pour cette partie avec tous les ingrédients disponibles : une grosse demi-journée. À votre bon cœur pour les ingrédients.
D'autre part, une peinture sol de couleur claire pour une superficie d'environ 32 mètres carrés par couche, soit de quoi couvrir au final 64 mètres carrés. La première couche peut être d'une autre couleur, même plus sombre que la couche visible, les peintures sol étant particulièrement 'couvrantes'. Temps estimé pour cette partie : une journée répartie en deux demi journées séparées par le temps de séchage optimal prescrit sur les pots de peinture. À votre bon cœur pour la peinture spéciale sols, en quantité suffisante, et d'une couleur neutre et claire.
Pour les pinceaux et rouleaux, ce n'est pas un problème.
En résumé : un sac de 25 kilogrammes de ragréage auto-lissant, et de la peinture permettant de couvrir un total de 64 mètres carrés, dont une avec une couleur claire pour la seconde couche (celle qui sera visible à l’œil).
Pour les murs, on verra après, mais il y a certainement quelque chose à faire aussi, par la suite.
Rien n'impose de peindre les murs avant de peindre le sol : quand on sait travailler, cela veut dire avant tout que l'on sait travailler soigneusement, et donc préserver ce qui doit l'être le temps de faire l'autre, sans chercher à tromper...

Par exemple, c'est à vous...


















Rien ne contraint à ce que cette 'journée bénévole' ait lieu en un seul jour puisqu'il ne s'en suivra aucune agapes en reconnaissance, mais simplement l'idée d'entretenir un peu son propre patrimoine pour les copropriétaires, fusse-t-il situé en parties communes, ou pour les autres, leur lieu de vie passager pour tous.

jeudi 9 avril 2020

Remède suédois : sauna...

Une chaleur ambiante élevée (supérieure à 60 degrés Celsius, et quelquefois jusqu'aux environs de 80° - très dangereux) et respirable aide à la destruction ou non propagation de beaucoup de choses (parasites, miasmes, etc), mais n'est pas sans d'autres risques.

Dans un air ambiant à une température très élevée, beaucoup de miasmes n'ont aucune chance de se propager, ni à l'expiration ni à l'inspiration ni par contact.
Malgré tout des miasmes vivent dans des milieux très hostiles voire mortels pour l'être humain.

Un remède ne vaut que si ses inconvénients ne sont pas supérieurs à ses avantages, tout étant relatif.

Dans un milieu très chaud, le cœur humain doit supporter la fatigue importante due à l'accélération du rythme sollicité pour rafraîchir le corps...

Aucune solution miracle.

Problème d'accès : tous les saunas et hammams sont fermés alors qu'ils pourraient aider... et non pas solutionner.




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mardi 7 avril 2020

Tous experts... ou pas 'expert' ?

Des discours changeants, voire mensongers, la coutume est connue ici.

Alors pourquoi se plaindre !

Chaque jour, chacun peut entendre et lire tout et son contraire, de quoi se faire une opinion, mais pas plus d'explications qui fasse progresser la médecine.

Du temps, ce qui manque aux familles prématurément endeuillées !

Il faut faire la différence entre d'abord une endémie, ensuite une épidémie (dont on nous rebat les oreilles actuellement à tord - et qui nécessairement crée des confusions pour les locuteurs qui s'en contentent), et enfin une pandémie notre situation actuelle...

Ebola relève de quelle qualification ?

La grippe 'saisonnière' relève de quelle qualification ?

Etc.

Ce n'est pas qu'en question abstraite de terminologie, mais de qualification juste pour mettre en place des mesures qui correspondent... ni trop ni trop peu !

En conséquence de quoi les autres problématiques vont émerger, le mal pas mieux que le remède inconnu ou l'inverse, ou autrement.




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dimanche 5 avril 2020

Pandémie, zoonose, ce n'est pas la première.

L'actuelle zoonose ne serait-elle pas le fait d'un v i r u s bien plus aéroporté qu'il ne l'est dit actuellement ?

L'idée fait son chemin, non pas issue d'élucubrations encensées, mais d’observations qui commencent à être affirmées ça et là.

De plus, l'idée de côtoyer des porteurs asymptomatiques ne rend pas le freinage de l’expansion facile : un porteur sain banal, un animal de compagnie... des compagnons à 4 pattes ou à ailes que l'homme affectionne en temps normaux.

Problème : toujours pas de masques... 
MAIS IL EN FAUDRAIT COMBIEN POUR LES HABITANTS DE LA PLANÈTE ENTIÈRE PAR 24 HEURES ?

4 par jour par personne en capacité d'en porter, soit plus de 4.000.000.000 d'êtres humains en mesure d'en porter, soit un total de 16.000.000.000 de masques au minimum par jour... À l'impossible, nul n'est tenu, anticipation ou pas.

La question de fabrication pose d'énormes problèmes écologiques, tout comme leur destruction d'ailleurs.

Et même si, les cas de réussites temporaires sont présentés comme banals après un affaiblissement important du système immunitaire après une première salve ou issu d'un facteur de risque préexistant élevé, le risque de décès n'est pas absent.

Où cela va-t-il nous mener ?

Cessons d'embêter les chauve-souris, grands pourvoyeuses de coronavirus de toutes sortes, qui ont l'amabilité de réduire notre risque de piqures de moustiques qui provoquent tout autant de ZOONOSES.

Une chose est sûre comme elle est déjà longuement dite et commentée partout :
après une crise sanitaire, nous allons vivre une crise sanitaire résultant de la crise économique en résultant, un cycle infernal et durable semble-t-il.

La surpopulation humaine est le problème :
entrer dans une phase de dépopulation humaine est le paramètre primordial de l'absence ou de l'affaiblissement de toute zoonose, comme l'actuelle pandémie.











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vendredi 3 avril 2020

Bacs 'jaunes' (et bleus) : ce que l'on doit y déposer.

L'utilisation des bacs 'jaunes' serait moins compliquée s'il n'y avait pas également :

1- dans l'immeuble :
  • - des bacs noirs, pour les ordures ménagères - non recyclables, non compostables, non verre, non piles, non ampoules, non matériaux, non déchets verts volumineux, non bouteilles (verre ou plastique), non vêtements,
  • le container à compost - situé au sud-est de l'ex-aire de jeux pour enfants,
2- en se déplaçant plus ou moins loin :
  •  - au bout de la rue Chemin de l'Exploitation au nord, un silo à verres,
  • - au début de la rue Guy-Moquet vers le rond point du Colonel Grancey, un container métal à vêtements,
  • - dans les magasins qui vendent ce type de produit, des containers à ampoules d'une part et à piles d'autre part,
  • - dans les magasins qui vendent ce type de produits, les appareils électriques et électroniques, les produits 'blancs' et produits 'bruns' ancien en contrepartie de l'achat de produits similaires neufs,
  • - chez les garagistes, les batteries de véhicules, les pneumatiques et l'huile de vidange,...
  • - dans les déchetteries, les 'encombrants' et meubles réduits en planches, et les autres déchets spéciaux parmi un certain nombre cité ci-dessus, ...
La multiplicité des zones géographiques de collecte ne facilite pas la tâche.
L'immeuble ne possède pas encore les 8 à 12 poubelles de tri comme cela existe dans certains pays.

Mais ici, seul nos containers 'jaunes' nous intéressent puisqu'ils sont sur place en complément de nos containers 'noirs', et d'une initiative réduite de recyclage  du verre à destinations des résidants qui ont du mal à se rendre au silo au bout de la rue (situé à environ 200 mètres de la copropriété).

Dans le bac 'jaune', la liste actuelle n'est pas infinie ; ils doivent recueillir notamment :
- les journaux et prospectus,
- les boites de conserve (fer blanc) et les cannettes en aluminium,
- les bouteilles en plastique et leur bouchon,
- les briques alimentaires (de lait, soupe, ...),
- les cartons non souillés d'aliments...

Il n'est pas clair de mettre dans un même bac 'jaune' d'une part des emballages propres (cartons) et d'autre part des emballages alimentaires (boîtes de conserve, briques alimentaires) souillés qu'il n'est pas absolument nécessaire de nettoyer avant leur dépôt !

CITÉO doit certainement faire mieux car un emballage quelconque représente souvent 10 à 15 % du prix du produit qu'il contient : c'est dire quelquefois la modestie du contenu à bas prix par rapport au contenant facturé à prix normal ce qui peut faire évoluer la fourchette de pourcentage de façon notable.

 




jeudi 2 avril 2020

Bacs 'jaunes' incompris par certains résidants.

Les containers à couvercle 'jaune' (ou bleu) servent à effectuer un tri pour une collecte spécialisée des emballages 'recyclables'.

Tous les emballages ne sont pas recyclables. Ce n'est pas toujours apparemment simple, en plus avec de la mauvaise volonté.

Dans ces containers jaunes, des résidants déposent régulièrement des débris alimentaires (qui eux-mêmes ne sont pas tous compostables - voir post précédent). 

Il n'empêche que les bacs jaunes sont présents dans la copropriété depuis un minimum d'une quinzaine d'années.

Leur mauvais usage ne peut donc provenir que d'une exécrable mauvaise volonté de certains résidants qui pensent, dans leur monde idéal, que rien n'est infini sur notre planète.

Un enfant de maternelle saurait observer les pictogrammes figurant sur les emballages ; en complément, un enfant de CP saurait lire les prescriptions écrites en matière de recyclage qui y sont fréquemment accolées.

Visiblement, un certain nombre d'adultes de l'immeuble n'ont pas acquis ces fondamentaux de la vie humaine, et restent à l'état des pays les plus pauvres où la misère économique prive leur habitants de toute conscience environnementale. Nous sommes pourtant dans un pays développé et mature !

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Les pictogrammes figurant sur les emballages, avec le yin et le yang, montrent que le fabriquant d'emballages a versé une contribution (légale et obligatoire) à la société privée CITÉO (ex- Éco-emballages) qui collecte ces fonds pour les reverser aux établissements de recyclage souvent structurellement déficitaires.

Les informations 'texte' au regard du symbole, viennent préciser le sort en matière de recyclage, des divers éléments de l'emballage : carton, film plastique, sur-emballage... Les catégories sont nombreuses pour savoir de quoi il est question.
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Un effort, chers résidants, pour trier correctement : 
- pas de cartons dans les containers 'noirs', 
- pas de polystyrène dans les bacs 'jaunes', ni de reste de sandwich, ni de pain, ni de reste de gâteau, ni de verre, ni de piles ou ampoules,...

Pour les containers 'jaunes', compacter les emballages avec vos mains solides ou en les écrasant sous vos pieds si la force manque. Les bacs seront mieux remplis, vidés moins souvent. Aujourd'hui, ils sont souvent vidés de l'air contenu dans des bouteilles non compactées ou de cartons non pliés : les containers de 200 litres ne sont chargés que de quelques kilogrammes, un peu plus avec les prospectus...

Pour de nombreuses bouteilles d'eau en plastique, de nombreux industriels fabriquent des contenant facilement compactables par écrasement - après avoir ouvert le bouchon - qui n'est pas du même plastique - pour malgré tout en le remettant sur le goulot après compactage - plutôt que le voir trainer au sol.

Et en cas d'emballage mixte (plusieurs composants), séparer les éléments selon leur cycle : pour un emballage d'ampoule électrique souvent mixte plastique et carton, il n'est pas difficile de séparer le plastique non recyclable actuellement, du carton actuellement recyclable.

Un peu de civisme collectif ne nuira pas à l'immeuble... et rendra service à notre devenir, notre planète, ou les bras actifs pourront se consacrer à ce qui nous sauve et passerons beaucoup moins d'énergie à ce qui nous nuit.

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mercredi 1 avril 2020

Du bon usage du composteur collectif (installé sur l'ex-aire de jeux pour enfants de la copropriété).

Un usage approximatif du composteur (bac à compost) vaut toujours mieux que son mésusage.

Le bac à compost commun en bois dispose d'un volume d'environ un mètre cube, certainement suffisant pour les déchets compostables des résidants de l'immeuble, mais pas plus (les déchets des espaces verts doivent être évacués).

Le bon usage du composteur commun n'est pas complexe à assimiler, un enfant de CP saurait le faire.

Tous les déchets organiques et végétaux (de l'appartement) peuvent être déposés dans le bac à compost, à l'exception de ceux qui ne doivent pas l'être (et ils sont nombreux).

Les déchets organiques autorisés sont :

    - les épluchures de fruits et légumes (il est préférable de les laver avant afin qu’il n’y ait plus de trace de produits chimiques)
    - le marc de café, ainsi que le filtre en papier
    - les coquilles d’œufs, concassées pour faciliter leur décomposition
    - les fleurs fanées
    - le pain,
    - les déchets à base de pâtes
    - certains déchets domestiques comme les mouchoirs en papier
    - sachets de thé, d’infusion et tisane

    - les déchets verts des jardiniers de l'immeuble (issus essentiellement de leur verdure d'intérieur) : feuilles, mauvaises herbes, fleurs, etc… mais attention, il faut veillez à ce que ces déchets n’aient pas reçu de traitement chimique auparavant(problème pour l'immeuble concernant les tontes de pelouses et taille des arbrisseaux et arbres : l'entreprise d'entretien des espaces verts doit évacuer la grande quantité de ces déchets à chacun de ses passages, le composteur d'un mètre cube étant insuffisant)

La liste des déchets qui ne vont pas au compost est aussi longue :
- certaines mauvaises herbes, surtout celles porteuses de graines car elles peuvent favoriser leur prolifération
- les déchets ayant subi un traitement chimique comme les désherbants, pesticides, fongicides, les plantes malades
- la viande, notamment les os,
- le poisson, notamment les arêtes, 
- les coquilles d'huîtres et de moules
- les produits laitiers
- enfin une grande catégorie constituée des peaux d'agrumes (pelures d’orange, de citron ou de pamplemousse) car ayant subi un traitement chimiquesi les agrumes sont bio, leur peau peut aller dans le bac à compost.

Les sites internet qui parlent du compostage disent tous à peu près cela : consultez-les à loisir pour réaliser un compost utiles aux plantes de la copropriété...
Et peut-être un jour à un massif de fleur...
Qu'une berline allemande n'écrasera pas de ses roues, son chauffeur méprisant les places de stationnement existantes qu'elles soient matérialisées ou non...



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