vendredi 30 octobre 2015

Le salon 2015 de la copropriété à la porte de Versailles, c'est pour bientôt.

C'est pour les mercredi 04 et jeudi 05 novembre 2015.

À préparer.

À ne pas manquer car avec la loi ALUR, la copropriété va devenir un monde difficile fait pour tout type de techniciens d'immeuble et non plus pour défendre les propriétaires de propriétés verticales.

jeudi 29 octobre 2015

2015-10-29 : des lingettes qui bouchent l'égout de la rue - quels dégueulasses !

Des lingettes ménagères qui bouchent l'égout de la rue...

Quels dégueulasses !

Ces lingettes qui servent à tout torcher, et dans certains cas à nettoyer...

Voilà à quoi peuvent servir nos impôts locaux : à déboucher l’égout de la rue ce jeudi 29 octobre 2015 à 21h00 des linguettes de nettoyage jetées par des dégueulasses dans les toilettes plutôt que les mettre à la poubelle ménagère...

mercredi 28 octobre 2015

2015-10-28-: stationner sur l'ex-aire de jeux pour enfants (gravillonnée) pour enfants sans gène.

2015-10-28-: stationner sur l'ex-aire de jeu (gravillonnée) pour enfants sans gène.

Cette ex-aire de jeux située à l'EST de l'immeuble est matérialisée par la présence de troènes, dont certains sont morts depuis plusieurs années et qui finissent par être rongés et vont disparaitre 'naturellement'..

Nous pouvons de nouveau observer ce mercredi 28 octobre 2015 le stationnement d'un véhicule.
Une camionnette (professionnelle et signalée) semble être là pour toute la journée.

Ce n'est pas la première fois qu'un véhicule stationne à cet endroit, et ce ne sera pas la dernière, semble-t-il.
Ont déjà été vu sur cette aire des camions de déménagement, des voitures particulières, des motocyclettes, etc.

Depuis plusieurs années et le vol de deux bancs de jardin, qui a suivi le démantèlement des jeux à la suite des désidératas d'un copropriétaire (qui a ensuite vendu rapidement son lot : lui non plus n'a pas profité de ses propres turpitudes, en plus d'avoir imposé une journée bénévole qui coûte 40.000 euros - il y a certainement bien mieux en terme de bénévolat), l'aire gravillonnée sert fréquemment de PARKING, et prolonge ainsi le parking EST.

Devant cette réalité, cela fait plusieurs années que ce cybercarnet suggère la suppression pure et simple de cet espace gravillonné pour y créer des places supplémentaires de stationnement de véhicules terrestres à moteur.
Cette proposition ne vise pas à encourager les véhicules ventouses ni le stationnement fréquent de véhicules professionnels 3 tonnes (qui aurait tendance à se réduire ces derniers mois), mais compte tenu du maintien de l'ouverture de la route (pour permettre de gaspiller les fonds : pas loin de 80.000 euros actuellement, pour construire le bunker qui défigure l'immeuble), à permettre aux résidants qui rentrent tard de pouvoir trouver de la place pour stationner sur leur propriété, notre copropriété.

Comme la voie n'est pas fermée à la circulation automobile, nos voisins ne se gênent pas pour en profiter sans compter participer à la réfection de la voirie défoncée et dangereuse où une énorme nid de poule est actuellement présent.

Vive le désordre et le stationnement anarchique n'importe où, y compris à plusieurs reprises récemment sur les pelouses.

Quel désastre dans la copropriété ! Quel désordre !
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mardi 27 octobre 2015

2015-10-27 : où les ouvriers font-ils leurs besoins naturels ? Le droit du travail impose des sanitaires, mais des sanitaires, cela se paye.

L'installation d'un cantonnement de chantier répond à la réglementation du travail.

Constitue une prestation irrégulière le défaut d'installation d'un tel cantonnement par l'entreprise prestataire.

Le syndic des copropriétaires ne peut pas adhérer, même avec les béni-oui-oui, à une minoration de prix au détriment des salariés qui subissent ces conditions de travail indignes en France. 

Le syndicat des copropriétaires n'a pas vocation à encourager la présence d'ouvriers dont la présence impose l'installation d'un cantonnement.

Le syndic est informé de cette irrégularité qui vicie le chantier.

Un water-closet chimique coûte environ 800 € TTC pour une location pour une période considérée minimum.
Doit être ajouté le montant de son arrivée par un camion équipé d'une flèche puis son retrait, autant de manutentions qui ne sont pas gratuites.

Quel désordre ! Quelle honte et ignominie le SDC, via son syndic, et cette entreprise prestataire d'un autre temps fait subir à ces travailleurs.

Que ceux qui ont voté pour cette honte absolue lèvent le doigt (le procès-verbal les a enregistré et en garde la mémoire, y compris de ceux qui par leur absence ont approuvé ce chantier de la honte !).
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dimanche 25 octobre 2015

AGO 2015 : le syndic voulait un contrat de trois (3) années pour éviter le contrat type 2016 obligatoire.

Pour l'AGO 2015 (tenue le 14 avril 2015) : le syndic voulait un contrat de trois (3) années.

Il a perçu que l'assistance, peu nombreuse, n'était pas emballée par cette idée, voire réticente.

Un syndic qui tente ainsi de s'imposer en maître dans une copropriété, ce ne serait pas la première fois.

Pourtant, il y a eu bien d'autres premières fois lors de cette AGO avec des no limit nombreux, et du coup dont les effets se calculent et se payent chaque trimestre sans constater aucune amélioration du service.

Le service s'est dégradé avec la pose des poussoirs bruyants et invisibles (à la place des anciens boutons poussoirs de cages d'escalier non bruyants et très visibles lorsque la petite ampoule était encore en état de marche, ce qui était le cas de tous les boutons poussoir de l'entrée C).

Tout aussi dégradé avec des goulottes électriques qui vont jusqu'au sol et poseront immanquablement des problèmes lors de la réfection des sols, en plus de leur arrachement...

Avec 20 % d'endettement et une fuite en avant sur le dos des copropriétaires qui payent leurs charges en temps et heure, ce n'est pas rien !

En voulant faire passer le contrat à trois années, le syndic ne pouvait ignorer l'imminence du décret du 26 mars 2015, juste six (6) jours après la date de sa convocation.

À six (6) jours près, nous aurions pu bénéficier du nouveau décret en avance de phase.

Que prévoit ce nouveau décret applicable à partir du 1er juillet 2015 ?


Qu'est-ce qu'un contrat type ?

C'est un contrat dont les dispositions sont présentes, et en cas de refus de les mettre en œuvre, elles sont simplement rayées mais toujours imprimées.

Si des mentions sont absentes (et non pas simplement rayées), le contrat perd son caractère de contrat type ce qui le rend nul et de nul effet.

D'ordre public, sa non utilisation et sa non application par un syndic indélicat entrainera ipso facto une mesure très simple : l'impossibilité de recouvrer valablement les charges de copropriété en plus de rendre l'élection du syndic nulle, tout cela soumis bien naturellement au contrôle du juge dans un État démocratique.

Bonnes vérifications, prise de connaissances et lecture.

Personne ne sait trop actuellement si ce contrat type recèle ou non des nids de contentieux, mais beaucoup de monde sait que les syndics les moins professionnels refusent de s'y plier.

Red Lex...


mercredi 21 octobre 2015

Le BIC, cet acronyme a-t-il une signification pour les copropriétaires ?

Il devrait en avoir une car il va être obligatoire à réaliser, va avoir un coût, tout comme ces travaux à financer dans la décennie en cours avec des couperets qui inciteront certainement des copropriétaires à quitter de façon anticipée leur lot.

Il faut se rendre à la raison :

les travaux vont être obligatoire et non pas seulement incitatifs.

Le parc social est nettement mieux entretenu que les résidences privées.

Il n'y aura aucun plus-value à envisager à la suite de ces coûteux travaux qu'il est nécessaire de financer, c'est tout.

Dans Paris et la proche banlieue, compte tenu de la tension en matière de logements, aucune plus-value n'est envisageable en raison de la vente d'un lot. De plus, comme les futurs acquéreurs le savent, ils ne vont pas être légion à vouloir investir dans une copropriété avec 20 % de dettes, des travaux retardés de longue date, un bunker, des voiries bientôt hors d'usage et actuellement un énorme nid de poule, l'absence d'isolation, une chaufferie avec un système de chauffage au fioul qui devient vétuste (installé en 1989)...

Nous ne remercions pas ceux qui se livrent à la détérioration de l'immeuble pour entretenir leur copinage qui entre en conflit avec l'intérêt de la copropriété.

lundi 19 octobre 2015

AG du 14/04/2015 : trésorerie gonflée = danger.

Sans excès aucun, il est nécessaire que les copropriétaires du syndicat qui ont voté "pour" ou celles qui ont voté "pour" par leur simple absence à l'assemblée générale du 14 avril 2015 s'interrogent sur cette volonté de gonfler de façon illimitée la trésorerie du syndicat des copropriétaires.

Vous trouverez des informations propres à nourrir la réflexion ici, et notamment en lisant l'extrait suivant :
"Rappelons aussi que l’absence de compte bancaire séparé entraîne différents risques pour la copropriété. Le syndic est notamment incité à « gonfler » au maximum la trésorerie pour augmenter les fonds détenus sur son compte global, et dans certains cas extrêmes, il peut même « partir avec la caisse » sans que la copropriété n’ait ensuite aucun recours." 
 
 
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jeudi 15 octobre 2015

Très beau salon indépendant : des professionnels de la profession pas très à l'aise, des entreprises qui veulent se placer.

Un salon qui procure beaucoup d'informations sur les bonnes choses à mettre en œuvre, et avec comme corolaire les exécrables pratiques de certains syndics.

Une certitude : la copropriété va être contrainte à de lourds travaux, qu'elle le veuille ou non. L'échéance maximum est à une décennie à compter de cette année.

Selon les actions, c'est de ingénierie financière à mettre en place avec des prêts pouvant aller jusqu'à 50.000 euros par lot d'habitation (collectif plus individuels), cette somme pouvant ne pas couvrir le besoin véritable qui pourrait être décuplé avec un mécanisme d'amortissement et de retour sur investissement qui réduirait l'augmentation des charges.

À cela s'ajoute la question des copropriétaires débiteurs qui contraindra la copropriété à assainir, si cela n'est pas déjà fait par un syndic diligent, les situations des copropriétaires débiteurs plutôt que de "soigner" sa clientèle au détriment des autres.

La fuite en avant des syndics consistant à faire augmenter par tous moyens le budget pour s'épargner de réaliser leur travail (de faire rentrer l'argent dans le compte bancaire du syndicat) est analysé et rentre en ligne de compte pour l'accord de prêts :

actuellement notre copropriété est endettée de plus de 20 % de son budget, ce qui ouvre la possibilité à chaque copropriétaire, hors le besoin de le faire valider par une assemblée générale, d'engager directement auprès du tribunal compétent une procédure de sauvegarde qui permettra de définir la responsabilité du syndic dans le non recouvrement des charges.

Chaque copropriétaire peut engager cette procédure dès aujourd'hui contre le syndicat des copropriétaires représenté par son représentant légal, son syndic, comme le précise l'article 15 de la Loi n°65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis.

Il peut le faire seul. Il en découlera rapidement la désignation d'un administrateur judiciaire (qui n'est pas nécessairement une source d'amélioration de la situation à court terme), sans que le syndic élu n'ait son mot à dire. Il devra défendre son travail s'il en fait un et sa responsabilité est couverte par son assurance professionnelle, encore faut-il l'actionner.

Cher désordre !


lundi 12 octobre 2015

Le salon indépendant de la copropriété se tiendra les mercredi 14 et jeudi 15 octobre 2015.

Il est facile de le trouver dans n'importe quel moteur de recherche sur internet, et à défaut, dans certains magasines.
Et sinon ici.

samedi 10 octobre 2015

Les deux méthodes pour déposer une plainte pénale sont accessibles.

Les sites internet officiels exposent comment déposer une plainte pénale, et à défaut, le commissariat de police est accessible.

Par exemple, concernant internet, vous pouvez suivre ce lien pour connaître les principes et leur mise en œuvre concrète.

...

EXTRAIT :

"

Procédure

Auprès d'un service de police ou de gendarmerie

Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie.
La réception de la plainte ne peut pas vous être refusée.
La plainte est ensuite transmise au procureur de la République.
  À savoir :
pour les atteintes aux biens dont l'auteur est inconnu, vous pouvez faire une pré-plainte en ligne sur internet, avant de vous rendre au commissariat ou à la brigade.

Auprès du procureur de la République

Vous pouvez également vous adresser directement au procureur de la République. Il faut envoyer une lettre sur papier libre au tribunal de grande instance du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction.
La lettre doit préciser :
  • l'état civil complet du plaignant,
  • le récit détaillé des faits, la date et le lieu de l'infraction,
  • le nom de l'auteur présumé s'il est connu du plaignant (à défaut, il convient de déposer plainte contre X),
  • les noms et adresses des éventuels témoins de cette infraction,
  • la description et l'estimation provisoire ou définitive du préjudice,
  • les documents de preuve à disposition : certificats médicaux constatant les blessures, arrêts de travail, factures diverses, constats en cas de dégâts matériels.
"
================================================

Fin de l'extrait.


C'est du temps à y consacrer.

vendredi 2 octobre 2015

AGENDA : les 4 et 5 novembre 2015, le salon de la copropriété à la porte de Versailles.

Salon "officiel" qui permet d'obtenir des informations sur les bonnes et les mauvaises pratiques des syndics, des conseils syndicaux, des copropriétaires, des locataires, au sein des copropriétés.

jeudi 1 octobre 2015

2015-10-01 : le chauffage collectif subit les effets d'une erreur de manipulation d'un copropriétaire...

Quelquefois, il serait mieux d'être sourd.

Particulièrement lorsque la gestionnaire de l'immeuble indique par téléphone que les problèmes de chauffage depuis 2 jours (et moins d'une semaine après l'allumage du chauffage collectif), seraient dû à l'erreur d'un copropriétaire qui aurait ouvert une vanne...
Le Conseil syndical se serait déjà manifesté auprès du syndic pour que le chauffagiste intervienne (rapidement), mène ses investigations, et remettre la pression dans les canalisations.

Mais l’impensable, c'est que que raconte la gestionnaire : "un copropriétaire a ouvert une vanne..."
Et la version du Conseil syndical est bien différente...

Qui nous ment ?

Quel est ce copropriétaire qui dispose dans son appartement de vannes qu'il peut librement ouvrir ?

Quel est ce copropriétaire qui vide l'eau du circuit de chauffage selon ses caprices, et au détriment de la collectivité ?

Quel copropriétaire a besoin de l'eau du circuit de chauffage (eau polluée et non potable) alors qu'il dispose de l'eau de son circuit d'eau potable ?

Le propos de la gestionnaire est très mystérieux.

Ce propos est par ailleurs inacceptable.

Et semble-t-il, nos deux éminents membres du conseil syndical sont informés.

C'est encore la manifestation du désordre qui règne en maître autoritaire dans notre copropriété.

Par ailleurs, ce 1er octobre 2015 au petit matin, l'entreprise de chauffage n'est toujours pas intervenue et la situation de chauffage inexistant ou chaotique persiste.
Lorsqu'elle remettra de l'eau fraîche dans le circuit de chauffage, cette eau "neuve" sera chargée d'ions qui provoquent la corrosion de nos radiateurs.

À chaque chargement d'eau dans le circuit de chauffage, la corrosion des radiateurs augmente, entraînant le cercle vicieux de remplacement permanent de radiateurs fuyards.

Quand le désordre règne, il est difficile à chasser.


Mise à jour à 10h00 :

Le technicien étant prêt à démarrer, lui parler a permis de rectifier son passage.
Alors que la chaufferie avait été allumée avec 3 bars de pression d'eau, le technicien de ce 1er octobre n'a remis que 2,5 bars, sans s'intéresser aux pages précédentes du carnet d'entretien de la chaufferie.

Il a convenu que la pression était faible et a ajouté le demi bar manquant, non sans vérifier, photographies (inutiles) à l'appui que le manomètre ne baissait pas rapidement (ce qui aurait indiqué une fuite persistante).

Quant à son enquête, selon la gestionnaire de copropriété, sur les motifs de la vidange sauvage d'un copropriétaire, le technicien n'a rien "enquêtée du tout et est reparti comme il était venu, à ceci près que la pression d'eau était de 3 bars.

Pour ceux qui sont à l'extrémité SUD de l'immeuble, tout le monde sait de longue date que cette pression est insuffisante, et qu'en réalité, elle devrait être de 4 bars, ce qui a toujours été le cas avant la présence de ce chauffagiste qui ne fait pas toujours son travail dans la continuité de son prédécesseur.