Journées de juillet, matins de septembre : la météo suit l'activité humaine prolifique.

Journées de mai comme en juillet, matins de mai comme en septembre : la météo suit l'activité humaine prolifique.

À quels prix ?

.

Élagage du côté du parking EST : "d'une éventuelle dégradation" ou "d'éventuelles dégradations" et non pas...

--- demande du syndic non datée ---

... qui au surplus est inexact :

un propriétaire de véhicule peut se plaindre des dégradations résultant d'un élagage imprudent d'un voisin.

Ce voisin doit savoir couper ses branches de façon à ne pas causer des dégradations : c'est un travail pour élagueur professionnel.

La "demande" non datée du syndic, via la distribution et affichage du président du conseil syndical ce mercredi 20 mai 2020 à 17h00, soit le soir de la veille d'un pont dit naturel (Ascension 2020), est pour le moins tardif, des résidants pouvant déjà être absents de la résidence à cette avant veille de la date de l'élagage que veut faire le propriétaire de la parcelle voisine.

Nul doute que le professionnel devant réaliser ce travail sera responsable d'un travail de qualité ne créant aucune dégradation, véhicule présent ou non. 

Les professionnels de l’élagage (c'est un vrai métier, qui n'est pas celui de bûcheron) savent faire, même en présence d'installations ou d'objets ou de véhicules stationnés sur une parcelle voisine, cela d'autant mieux que le pied des arbres les plus proches de la limite séparative ne doivent pas être à moins de 2 mètres de la parcelle voisine (règle civile coutumière), en l'occurrence celle de la résidence.

Quant à dénommer "en face de la résidence" la parcelle voisine, nous avons 4 façades de l'immeuble de le résidence, l'immeuble n'ayant aucun mur en limite séparative ou mitoyen : en utilisant de façon non érudite les points cardinaux appris au cours primaire au plus tard de la scolarité, la façade concernée est en réalité la seule façade EST pour la partie située entre l'entrée B à l'entrée D - entrées telles que dénommées par le règlement de copropriété, seul acte juridique opposable (dénombré actuellement n° 10 à n° 14 pour les adresses postales).

Toujours cette volonté de "demander" de façon peu compréhensible...

(rappelons-nous récemment de la peinture des cages d'escalier et du surcoût de l’imprécision volontaire du même syndic pour quelques 20.000 euros de plus, avec le peintre qu'il connait depuis plus de 20 ans, coût supplémentaire qu'il nous a contraint à voter).

..

Des précautions pour notre santé.

De l'hygiène,

du chauffage collectif jusqu'à hier et bienvenu le matin,

ce sont des précautions et aides pour garder la santé.

De l'eau il y a une dizaine de jours, mais pas assez du tout.

Il ne pleut pas assez.

Les premières cerises sont tout petites.

Doit-on s'y faire, admirer, déplorer... ou agir ?

Le "bunker" bien utilisé...

... comme espace de jeux de ballons.

Ce n'est pas innovant puisqu'y était situé autrefois un panier de basket sur la colonne de vide-ordures (aujourd'hui condamné, et dont il ne reste pas grand chose de visible).

Jeu pratiqué dans la journée, la frappe des balles raisonnait dans toute la colonne, et donc chez tous les résidants du n° 8.

Autres temps, mais utilisation similaire en 20-20.

2020-05-12 : avec 5 ° Celsius au réveil, le chauffage collectif trouve toute sa légitimité.

Pas chaud pendant les saints de glace.

Les prévisions de la météorologie nationale donnent des évolutions favorables dans les jours à venir.

Couper le chauffage avant est la manifestation d'un désordre qui règne depuis longtemps ici.

Vive le chauffage quand il est nécessaire, c'est-à-dire tant que la température extérieure au réveil est inférieure à 13 degrés Celcius, ce qui permet d'avoir une température minimale de 19 degrés - température inconfortable - dans les appartements, la température de confort minimum étant à partir de 22 degrés Celsius dans les lieux de vie, et beaucoup plus pour les personnes souffrantes ou alitées

.

2020-05-11 - 10h30 : curieux fonctionnement du chauffage collectif, ce premier jour des saints de glace.

Les saints de glaces commencent ce lundi 11 mai pour une durée de 3 jours.

La météorologie nationale a confirmé, sinon leur présence, du moins de mauvaises conditions climatiques, visibles déjà depuis 3 jours, et qui doivent continuer encore pour 3 jours.

Après plusieurs jours sans chauffage collectif malgré les conditions climatiques annoncées, et qui visiblement se dégradaient, le chauffage collectif est mystérieusement revenu.

Curieux pas de chauffage avant 10h00 ce lundi 11 mai 2020.

Les réglages de la chaufferies sont-ils si mal réalisés par le chauffagiste, ou une 'intervention' inopinée' n'est-elle pas réalisée par X pour allumer et éteindre la chaudière à son gré ?

Qui connaît l'organisation en place ?

Pour le désordre qui règne, tout le monde peut le constater, dans ce domaine comme dans mains autres.







. 

Aucunes nouvelles de notre représentant légal.

En tout état de cause, personne n'en attend grand chose car il ne peut pas faire grand chose, ou en douce.

.

Aucune fourniture ne vient pour réaliser du travail bénévole, et le temps passe.

Lorsque les résidants seront moins disponibles (pour ceux qui le sont actuellement), il sera moins aisé de réaliser du travail bénévole à caractère commun.

Pour cela, comme écrit auparavant, il faut des fournitures :

- un sac de 40 kg de béton fibré (pouvant supporter le passage des essieux de tous types de véhicules),
- un sac de 40 kg de ragréage autolissant (certainement 25 kg peuvent suffire),
- de la peinture sol pour 64 mètres carré dont au moins un volume pour couvrir 32 mètres carré, mais en couleur claire,...

Rien d'impossible...


Mais aussi par exemple de la peinture pour réaliser des retouches dans les cages d'escalier où la couleur orange commence à ressortir au niveau des plinthes, lorsque ce n'est pas le métal à nu concernant les mains courantes, ou les murs cabossés ici et là, ou des plafonds où la peinture se décolle, soit un besoin des 3 textures et couleurs appliquées lors de la coûteuse peinture desdites cages en 2015-2016 (augmenté de près de 16.000 euros en début 2016, pour un total de près de 40.000 € ttc).





Et quoi d'autre ?













.

Le tri 'sélectif', c'est pas ça dans l'immeuble.

Autrement dit ce qui ne doit pas aller dans le container 'jaune'.

Et visiblement, ce n'est pas une question d'âge, car les plus récents dans la copropriété sont concernés de la même manière que les plus anciens :


il n'y a pas de tri, mais un jet en vrac et n'importe où qui visiblement dépens souvent de la méthode de 'tri' dans son appartement, avant de descendre ses détritus.

Lorsque le tri est réalisé avant le dépôt dans les containers, le tri est plus ou moins assuré ; lorsque c'est du vrac, le sac fini tantôt dans le container 'noir', tantôt dans le container 'jaune'.


Vivement la mise en place d'amendes dissuasives pour faire cesser cette anarchie néfaste pour notre unique petite planète déjà fortement esquintée par les mauvaises pratiques antérieures !

***

Ne va pas dans les containers 'jaunes' :

- le pain sec,
- les légumes (et leurs épluchures),

- et plus généralement tous les détritus alimentaires, par ailleurs à peu près tous compostables,

- ni les plastiques souples,
- ni les petits conditionnements de produits individuels souples en plastique,
- ni les polystyrènes (des barquettes alimentaires - extrudés, ou des colis - expansés),
- etc.,

***

- et un jour peut être comme dans certains pays une multiplication des poubelles de tri sélectif permettant de tout trier,
- et plus loin encore la suppression totale des déchets, y compris des emballages de pilules que nous ingèrerons alors comme repas ou de l'eau potable conditionnée en gel pour rester potable.

Le refus de temps en temps de nos éboueurs de ne pas vider les containers 'jaunes' ou 'noirs' ou de sortir quelques sacs indésirables n'est à l'évidence pas suffisant pour éveiller les résidants à la préservation de notre seul espace vivable.

C'est bien de les féliciter de temps en temps, mais ce serait tout aussi bien de respecter leur travail en assurant la partie qui incombe aux résidants : trier valablement les déchets.

Comme le répète fréquemment un célèbre astrophysicien :
"la Terre doit être vivable et agréable".

"Vivable", cela veut dire que l'être humain peut y vivre ; "agréable", cela veut dire que "vivable" n'est pas suffisant, il faut aussi que l'être humain s'y retrouve dans sa vie : admirer, réfléchir, profiter, ne pas altérer, ... il y a encore du boulot !



















. 

Le composteur commun de la résidence est utilisé.

Le composteur commun situé au Sud-Est de l'ex aire de jeux de la copropriété est utilisé par les résidants.

Actuellement, il est rempli à environ deux tiers de sa capacité (capacité totale d'environ un mètre cube).

Comment sortir le compost du composteur commun ?

Par une trappe amovible situé à l'avant du composteur, trappe occupant la moitié inférieure de la façade, à ôter avec précautions pour pouvoir la repositionner convenablement après le prélèvement.

Où utiliser le compost créé ?

Par incorporation dans le sol après bêchage ou binage, ou en paillis, nul doute que des résidants sauront le disposer là où c'est intéressant : répandu sur les pelouses (mais alors pourquoi enlever les déchets de tonte (herbes, pâquerettes, ...) plutôt que d'essayer d'en composter une partie dans le composteur commun), ou aux pieds des plantes (dont un hypothétique massif de fleurs), au pieds des troènes qui apprécieraient un amendement organique, ...

Le muguet (lis des vallées) se fait rare à la vente alors qu'il est abondant en culture.

Le muguet ou lis des vallées.

Blanc ou rose, pourquoi ne pas en planter dans un petit coin de nos espaces verts, au Nord, juste dans le coin de la voie d'accès aux parkings Est, où il y a déjà des pots, un petit espace de terre existant protégé par du grillage bas ?

C'est une plante vivace - qui se dissémine si le sol lui plaît. (il faut l'aider un peu pour le sol - fraîcheur, humidité, mi-ombre, riche en humus).

Comme un certain nombre de plantes, la toxicité est forte (feuilles, fleurs dites 'clochettes', baies rouges à partir de juillet - qui succèdent aux clochettes blanches ou roses) : attention aux enfants pour qui il peut s'agir aussi d'un apprentissage à la distinction de ce qui est beau avec ce qui est non comestible.

Pour les résidants qui ont acheté du lis des vallées en pots avec  racines, merci de les déposer à l'entrée du n° 12 où ils pourront ensuite bénéficier d'une replantation en pleine terre - avec ou sans division en rhizomes (car le semis est très délicat).

Pour les autres formes (fanées rapidement), merci de déposer vos plantes dans le composteur collectif accueillera volontiers.

.