vendredi 26 septembre 2014

Il ne fait pas chaud ce matin, et peu importe l'été "indien" d'automne 2014 : c'est la température au lever du soleil qui compte...

... comme référence pour mettre en marche la chaufferie collective.

Ce vendredi 26 septembre 2014 au matin, elle s'élève à 11-12 degrés Celsius.

Il faudrait 13 degrés extérieurs au petit matin pour ne pas allumer la chaufferie. 
Ils n'y sont pas : il faut allumer la chaufferie.

Mais comme nous savons de longue date l'inefficacité des uns et des autres, comptons que le chauffage collectif sera défaillant encore un moment.

Doit-on attraper des affections d'automne sur le sacrifice fait pour le bunker "ex patio" qui défigure l'immeuble ?

Ne remercions jamais ceux qui ont voté pour le bunker par leur "pour" ou par leur simple absence à l'assemblée générale extraordinaire.

Assemblée tenue quand ?

A.G.E. tenue le 16 novembre 2011, vote n° 4, avec juste 677 millièmes.

À 666 millièmes, ce désastre pour notre résidence aurait été passé aux oubliettes en faveur d'un projet réfléchi consistant par exemple en la fermeture de notre voie privée, toute la rue Camille-Flammarion qui dessert notre immeuble (mais pas que...).

Avec pour cette assemblée 12 copropriétaires représentés, et à défaut de communication des pouvoir, il est toujours possible aujourd'hui encore d'interroger le syndic, qui a l'obligation légale de conserver ces documents pendant une durée de 10 années glissantes, sur l'existence de ces pouvoirs et les éventuelles irrégularités qu'ils contiennent.
Avec un seul copropriétaire décompté en moins, qu'il s'agisse d'un F3 (23 millièmes) ou d'un F4 (27 millièmes), ce vote ne pouvait pas passer.

Comme nous continuons à voir à chaque assemblée, quelques minutes avant son ouverture, lors de la signature de la feuille de présence, la circulation des pouvoir "en blanc" remis aux copains-coquins, il est très probable qu'une irrégularité existe, car les coquins ne sont pas les plus organisés (et heureusement car c'est pour cette raison qu'il est possible de les débusquer).

En attendant, nous subissons :

- l'ex patio bunkerisé, et pas de la meilleures des manières,
- l'envahissement de nos places de parkings par des véhicules extérieurs et des véhicules professionnels,
- le défoncement de nos chaussées et voiries par la fréquence du passage et stationnement de véhicules professionnels lourds,
- l'absence d'entretien de nos voiries,
- la lumière en panne sous le bunker, où il faut choisir entre le bunker et les entrées d'immeuble,
- et bien évidemment, la facture qui ne cesse de monter pour cette installation hideuse, dont nous subissons les effets au travers du refus par exemple, d'allumer le chauffage quand le moment est venu et non pas 15 jours plus tard...



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