dimanche 21 février 2016

Classification impropre de l'assemblée générale du 28 janvier 2016.

L'assemblée générale convoquée le 28 janvier 2016 ne vise pas à approuver les comptes de l'année 2015.

Elle ne peut donc pas est surnommée "AGO" comme "assemblée générale ordinaire", terminologie impropre.

Les termes "AGO" et "AGE" (comme assemblée générale extraordinaire) sont impropres : une assemblée a un objet qui n'est ni ordinaire ni extraordinaire, mais un objet principal qui est propre à l'assemblée convoquée. 

C'est cet objet qui détermine la "prétendue classification", toujours impropre, de l'assemblée générale convoquée.

Il n'existe pas de classification des assemblées générales en matière de copropriété.

Il est nécessaire à chaque fois de lire l'objet principal de l'assemblée générale :

1- elle peut être convoquée pour approuver les comptes de l'exercice clos :

C'est l'assemblée générale convoquée le xx xxxx  xxxx visant à approuver les comptes de l'exercice clos xxxx.

2- elle peut être convoquée pour un autre motif...

C'est l'assemblée générale convoquée le xx xxxx  xxxx afin de xxxxxxxxxxxxxxx.

C'est tout : il n'en résulte aucune classification.
C'est une assemblée générale et c'est tout.

Le procès-verbal est par conséquent erroné sur ce point.

La suite n'annonce rien de mieux : le syndic-secrétaire n'utilise pas la terme valable "syndicat des copropriétaires", mais lui substitue "résidence", ce qui est incorrect.

Lui-même ne se dénomme pas alors qu'il porte son mandat en personne, et non pas sous couvert d'une société qui n'a aucun compte en propre à rendre au syndicat des copropriétaires, et dont un salarié titulaire d'une carte professionnelle invisible qui peut changer d'un jour à l'autre sans préavis.
Des informations générales sur le syndic de copropriété sont accessibles par tous ici, notant des mises à jours à intervenir prochainement. 
Des informations un peu plus sérieuses qu'un pseudo "bilan trimestriel" qui ne fait que dissimuler les informations utiles et ne viser qu'à flatter leur rédacteur.

Quand la superbia est ancrée ...

Ce procès-verbal trompe le lecteur le moins assidu, considéré comme le vulgus pecus ou servus pecus.


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