lundi 9 juin 2014

Entretien des espaces verts : le mieux ennemi du bien !

L'entretien (complet) des espaces verts a eu lie ce Lundi de Pentecôte 2014 (lundi 09 juin 2014) avec la taille des haies.

Les troènes, âgés, et mal entretenus auparavant, ont été taillés à plus d'un mètre de largeur.

L'entreprise d'entretien des espaces verts devait communiquer un devis pour l'arrachage et replantation de nouveau arbustes. Ce devis reste pour le moment inconnu, mais aucun résident n'a de doute que dans son prochain affichage, le conseil syndical et sa taupe afficheront le montant proposé et la date prévisionnelle de ce travail d'espaces verts complémentaire au contrat initial (et donc hors contrat, et par conséquent avec un coût non budgété jusqu'à présent.

Avant de faire un bunker, il y avait fort à faire.

La copropriété est actuellement en large voie d'appauvrissement.

L’entretien des espaces verts insuffisant faute d'investissement est la première chose visible (après l'absence de ravalement) de la copropriété.

L'entreprise d’entretien d’espaces verts a donc réalisé sa "coupe d'été" aux troènes et le résultat était largement prévisible : c'est très moche, voire hideux, et même pouilleux. Ce n'est pas en raison de la taille, mais en raison d'un défaut d'entretien général visible partout ailleurs dans le copropriété.

Les copropriétaires les moins riches ne peuvent pas à la fois voir gaspiller 60.000 euros dans un BUNKER pour capricieux, avec une augmentation conséquente de la prime d'assurance de l'immeuble, et investir de façon juste ce qu’il faut pour maintenir l'immeuble (voiries délabrées, ravalement hors d'état avec des infiltrations, etc.

Il faut assumer le vote pour ce conseil syndical indigent et ce qui va avec.

Il ne s'agit pas d'un défaut de jeunesse de ce conseil, mais simplement une mise en cause de chacun des copropriétaires valides dans son choix : le désordre avant tout au profit de quelques privilégiés.

Les troènes de plus d'un mètre de large ne devraient pas résister à la prochaine taille où il sera nécessaire de les réduire, et à défaut de voir la moindre feuille, les arracher.

Un tout état de cause, leur largeur inédite ne change rien au vol de deux bancs de jardins dont le nouveau syndic a probablement déjà fait la plainte au procureur de la République (on peut en douter vu le désordre du conseil syndical qui ne fait strictement rien pour faire effacer les tags du pignon NORD âgés de plus d'un année pleine) afin de pouvoir déclare ce sinistre sinistre.

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