mardi 31 mars 2015

Vive le vent de printemps pour faire voler les détritus au recyclage ce mardi 31 mars 2015.

La parcelle de l'immeuble pour ses parties SUD et EST est transformée en dépotoir.

La sortie des containers à recyclage n'est pas en cause en soi : il est nécessaire de sortir ces containers pour les faire vider.

Rappel - assemblée générale ordinaire du 26 mars 2014, résolution n°4 - procès-verbal page 7 :
"Après débats, l'assemblée générale souhaite garder une société de ménage et de sortie des [containers]".

Inénarrable procès-verbal étalé sur 27 pages, un record de longueur qui vise à dissuader le plus grand nombre de copropriétaires de le lire, en plus rapporter des propos mensongers.

Sans espace de stockage adapté pour les containers, ceux-ci sont mis à l'extérieur à tous vents en attendant leur vidage du lendemain.

Pour rappel, l'année qui a précédé le vote du "bunker passoire", il était proposé d'aménager un espace au SUD de l'immeuble pour stocker avec un maximum de sécurité les containers avant leur vidage, espace au coût très modéré de moins de 1.000 euros.
Cette excellente idée a été écarté au profit du "bunker passoire" pour 60.000 €, et encore quelques milliers d'euros promis par la convocation à l'AGO 2015.
(Un gouffre sans fin pour nos finances au détriments de travaux urgents et utiles).

Le défaut d'un aménagement adéquat de sortie des containers n'est pas seul en cause.

Les résidents ne prennent pas soin de réduire le volume de leurs détritus, non seulement pour réduire le remplissage en volume des containers à recyclage, mais aussi pour éviter qu'ils ne volent à tous vents.

Ce mardi 31 mars 2015, il y a beaucoup de vent.

Les canettes non écrasées, les briques de lait entier non pliées, et autres détritus légers dont certains n'ont rien à faire au recyclage, se retrouvent sur nos pelouses, dans les plantes,  et sur les voiries détériorées EST.

Les pelouses, qui dans un bon état d'entretien devraient être refaites tous les deux ans, ne l'ont pas été depuis plus de ... 20 ans.

Les détritus sont arrêtés par les troènes morts, morts mais toujours plantés sur l'espace de détente, et sans aucune proposition de devis pour l'AGO 2015 pour les remplacer.

C'est comme cela à Bellevue, et certains résidents ont la vue directe sur cette décharge (temporaire) à ciel ouvert et vents soutenus.

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