dimanche 5 avril 2020

Pandémie, zoonose, ce n'est pas la première.

L'actuelle zoonose ne serait-elle pas le fait d'un v i r u s bien plus aéroporté qu'il ne l'est dit actuellement ?

L'idée fait son chemin, non pas issue d'élucubrations encensées, mais d’observations qui commencent à être affirmées ça et là.

De plus, l'idée de côtoyer des porteurs asymptomatiques ne rend pas le freinage de l’expansion facile : un porteur sain banal, un animal de compagnie... des compagnons à 4 pattes ou à ailes que l'homme affectionne en temps normaux.

Problème : toujours pas de masques... 
MAIS IL EN FAUDRAIT COMBIEN POUR LES HABITANTS DE LA PLANÈTE ENTIÈRE PAR 24 HEURES ?

4 par jour par personne en capacité d'en porter, soit plus de 4.000.000.000 d'êtres humains en mesure d'en porter, soit un total de 16.000.000.000 de masques au minimum par jour... À l'impossible, nul n'est tenu, anticipation ou pas.

La question de fabrication pose d'énormes problèmes écologiques, tout comme leur destruction d'ailleurs.

Et même si, les cas de réussites temporaires sont présentés comme banals après un affaiblissement important du système immunitaire après une première salve ou issu d'un facteur de risque préexistant élevé, le risque de décès n'est pas absent.

Où cela va-t-il nous mener ?

Cessons d'embêter les chauve-souris, grands pourvoyeuses de coronavirus de toutes sortes, qui ont l'amabilité de réduire notre risque de piqures de moustiques qui provoquent tout autant de ZOONOSES.

Une chose est sûre comme elle est déjà longuement dite et commentée partout :
après une crise sanitaire, nous allons vivre une crise sanitaire résultant de la crise économique en résultant, un cycle infernal et durable semble-t-il.

La surpopulation humaine est le problème :
entrer dans une phase de dépopulation humaine est le paramètre primordial de l'absence ou de l'affaiblissement de toute zoonose, comme l'actuelle pandémie.











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