jeudi 1 octobre 2015

2015-10-01 : le chauffage collectif subit les effets d'une erreur de manipulation d'un copropriétaire...

Quelquefois, il serait mieux d'être sourd.

Particulièrement lorsque la gestionnaire de l'immeuble indique par téléphone que les problèmes de chauffage depuis 2 jours (et moins d'une semaine après l'allumage du chauffage collectif), seraient dû à l'erreur d'un copropriétaire qui aurait ouvert une vanne...
Le Conseil syndical se serait déjà manifesté auprès du syndic pour que le chauffagiste intervienne (rapidement), mène ses investigations, et remettre la pression dans les canalisations.

Mais l’impensable, c'est que que raconte la gestionnaire : "un copropriétaire a ouvert une vanne..."
Et la version du Conseil syndical est bien différente...

Qui nous ment ?

Quel est ce copropriétaire qui dispose dans son appartement de vannes qu'il peut librement ouvrir ?

Quel est ce copropriétaire qui vide l'eau du circuit de chauffage selon ses caprices, et au détriment de la collectivité ?

Quel copropriétaire a besoin de l'eau du circuit de chauffage (eau polluée et non potable) alors qu'il dispose de l'eau de son circuit d'eau potable ?

Le propos de la gestionnaire est très mystérieux.

Ce propos est par ailleurs inacceptable.

Et semble-t-il, nos deux éminents membres du conseil syndical sont informés.

C'est encore la manifestation du désordre qui règne en maître autoritaire dans notre copropriété.

Par ailleurs, ce 1er octobre 2015 au petit matin, l'entreprise de chauffage n'est toujours pas intervenue et la situation de chauffage inexistant ou chaotique persiste.
Lorsqu'elle remettra de l'eau fraîche dans le circuit de chauffage, cette eau "neuve" sera chargée d'ions qui provoquent la corrosion de nos radiateurs.

À chaque chargement d'eau dans le circuit de chauffage, la corrosion des radiateurs augmente, entraînant le cercle vicieux de remplacement permanent de radiateurs fuyards.

Quand le désordre règne, il est difficile à chasser.


Mise à jour à 10h00 :

Le technicien étant prêt à démarrer, lui parler a permis de rectifier son passage.
Alors que la chaufferie avait été allumée avec 3 bars de pression d'eau, le technicien de ce 1er octobre n'a remis que 2,5 bars, sans s'intéresser aux pages précédentes du carnet d'entretien de la chaufferie.

Il a convenu que la pression était faible et a ajouté le demi bar manquant, non sans vérifier, photographies (inutiles) à l'appui que le manomètre ne baissait pas rapidement (ce qui aurait indiqué une fuite persistante).

Quant à son enquête, selon la gestionnaire de copropriété, sur les motifs de la vidange sauvage d'un copropriétaire, le technicien n'a rien "enquêtée du tout et est reparti comme il était venu, à ceci près que la pression d'eau était de 3 bars.

Pour ceux qui sont à l'extrémité SUD de l'immeuble, tout le monde sait de longue date que cette pression est insuffisante, et qu'en réalité, elle devrait être de 4 bars, ce qui a toujours été le cas avant la présence de ce chauffagiste qui ne fait pas toujours son travail dans la continuité de son prédécesseur.


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