jeudi 10 octobre 2019

M aurait cédé et nous pourrions avoir du chauffage ce 11 octobre 2019 (alors que la météo s'annonce plus chaude...).












Un devis de plus de 1.000 euros (et plus près des 1.500 €) aurait été accepté, et M donnerait accès à son logement pour y installer ce qu'il faut pour colmater la fuite, avec destruction partielle de son interdit et fumeux coffrage en carrelage...

Quand ça veut pas dans une copropriété (et depuis plusieurs décennies), ça ne veut pas, avec toutes les conséquences nuisibles que cela génère.

Qui aurait envie de payer des charges pour un service qu'au bout du compte il ne reçoit pas ?

Personne, et ainsi s’enclenche le cercle vicieux !

Tout cela reste un peu nébuleux et on ne saura véritablement si M a recouvré une raison que dans la semaine 41 de 2019, car il faut encore planifier l'intervention...

Pour allumer le chauffage ce vendredi 11/10/19, il faudra réduire la pression d'eau de façon notable, mais avant tout en demander l'autorisation au syndic... CE QUI N'A TOUJOURS PAS ÉTÉ FAIT PAR NOTRE CONSEIL SYNDICAL.

Du chauffage collectif en mode dégradé...

Qui se fout le plus du monde dans le trio :

- M,
- le syndic, ou
- les 2 bienheureux élus du conseil syndical ?






Visiblement, on n'est pas au bout. 





Que ceux qui pensent qu'il faut démolir l'immeuble pour en reconstruire un plus moderne s'avisent d'un coût de reconstruction qui en tout état de cause aujourd'hui est équivalent au montant de leur patrimoine immobilier dans ce syndicat.
Grosse provision à faire avec alors en perspective d'avenir un immeuble à énergie positive...






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