mercredi 21 octobre 2015

Le BIC, cet acronyme a-t-il une signification pour les copropriétaires ?

Il devrait en avoir une car il va être obligatoire à réaliser, va avoir un coût, tout comme ces travaux à financer dans la décennie en cours avec des couperets qui inciteront certainement des copropriétaires à quitter de façon anticipée leur lot.

Il faut se rendre à la raison :

les travaux vont être obligatoire et non pas seulement incitatifs.

Le parc social est nettement mieux entretenu que les résidences privées.

Il n'y aura aucun plus-value à envisager à la suite de ces coûteux travaux qu'il est nécessaire de financer, c'est tout.

Dans Paris et la proche banlieue, compte tenu de la tension en matière de logements, aucune plus-value n'est envisageable en raison de la vente d'un lot. De plus, comme les futurs acquéreurs le savent, ils ne vont pas être légion à vouloir investir dans une copropriété avec 20 % de dettes, des travaux retardés de longue date, un bunker, des voiries bientôt hors d'usage et actuellement un énorme nid de poule, l'absence d'isolation, une chaufferie avec un système de chauffage au fioul qui devient vétuste (installé en 1989)...

Nous ne remercions pas ceux qui se livrent à la détérioration de l'immeuble pour entretenir leur copinage qui entre en conflit avec l'intérêt de la copropriété.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

alors ce bic cé koi !